« Soigner et prendre soin » pourrait apparaitre comme un pléonasme dans la mesure où soigner c’est déjà « s’occuper avec attention ». Pourtant cela renvoie à la distinction anglaise entre le « cure » et le « care », entre une approche « médicale » dont l’enjeu est de guérir le corps et une approche « humaniste » dont le but est de soigner l’âme. L’institut européen de Philosophie Pratique accompagne de nombreuses structures sociales, médico-sociales et sanitaires dans leur réflexion autour de l’éthique du soin et de l’accompagnement.
Archives de catégorie : Enjeux
Sortie de crise et coopération
L’institut européen de Philosophie Pratique vous accompagne pour sortir d’une crise institutionnelle ou une crise d’équipe en vous aidant à raviver ce qui fait valeur commune dans l’organisation.
Sens et qualité de vie au travail
Comment faire pour que le travail tienne ses promesses, fasse sens avec ce à quoi on tient, qu’il donne envie de se lever le matin et de le raconter le soir, qu’il mobilise tout à la fois de la raison, du cœur et du corps pour se sentir vivant même dans la fatigue ou l’effort ? qu’il soit joueur et créateur de valeurs, productif et solidaire… On a besoin de penser dans les organisations, de prendre de la hauteur, d’actualiser ses valeurs, de dialoguer ! L’institut européen de Philosophie Pratique intervient auprès des équipes pour les aider à ressourcer le sens de leur travail.
Eduquer ensemble
L’institut européen de philosophie pratique accompagne des territoires et des collectivités dans leur questionnement autour de l’éducation. Nous formons des professionnels sur l’évolution de la posture professionnelle, développons le pouvoir d’agir des familles, animation de rencontres favorisant l’échange et l’expérimentation entre les différents acteurs de l’éducation du territoire…)
Le pouvoir d’agir
L’évolution de la question sociale en France oblige les institutions à repenser en profondeur l’action publique. L’enjeu est de répondre à de nouvelles problématiques sociales, telles que l’accroissement du chômage de masse, la « ghettoïsation » de certains territoires ou encore l’affaiblissement des solidarités traditionnelles de proximité. Mais cette évolution doit aussi s’entrevoir dans son versant positif : la multiplication des initiatives citoyennes dans le domaine de l’économie sociale et solidaire, les transformations sociétales par le numérique qui rendent possibles des collaborations inimaginables il y a encore quelques années, le désir grandissant de repenser les formes d’engagement politique et d’investissement de la sphère publique. Construire des modes de gouvernance plus collaboratifs c’est s’inscrire dans un mouvement profond de société mais c’est aussi permettre à chacun de ressourcer son action grâce au collectif.